Nos engagements

Depuis la création du FIL en 2019, l’association Ouest Médialab, organisatrice du festival, veille à limiter son impact sur l’environnement. En 2022, nous avons obtenu avec succès le label “événement éco-engagé” décerné par le réseau REEVE. Au-delà de ces engagements éco-responsable, nous veillons à rendre notre événement le plus ouvert.

1.

Réduire les trajets en avion

En 2019, un bilan carbone réalisé par l’agence Toovalu nous révélait sans surprise que le transport des festivaliers représentait 75% de nos émissions de CO2. Outre la sensibilisation de nos festivaliers, nous avons pris l’initiative de limiter les déplacements en avion de nos intervenants. De 17 trajets en 2019, nous sommes passés à 5 en 2024, en privilégiant la retransmission en visio ou le train. Pour aller au bout de la démarche, nous réalisons un don auprès d’une association pour compenser les émissions générées par les transports aériens que nous n’avons pu éviter. 

2.

Moins consommer pour moins jeter

À chaque édition, nous nous efforçons de générer le moins de déchets possibles et d’accompagner leur recyclage. Pour y parvenir, nous avons décidé de supprimer le plastique jetable, de mettre en place un composteur pour les déchets alimentaires, et de réduire le gaspillage alimentaire en veillant à la redistribution des plats invendus. Mais surtout, nous limitons drastiquement notre politique d’achat : pas d’impression d’affiches ou de flyers, pas de goodies, pas de jolis tours de cous floqués. Nous recyclons au maximum année après année !

3.

Proposer une restauration responsable

Que ce soit pour la pause déjeuner ou à l’occasion de la soirée du FIL, nous souhaitons proposer aux festivaliers une majorité de produits d’origine locale, de saison, fermier et/ou bio. Nous demandons également à nos prestataires de proposer au moins un “menu bas carbone”, autrement dit un plat sans viande et dont les principaux ingrédients sont locaux. 

4.

Communiquer avec sobriété

Pour le volet communication, nous nous appuyons sur des prestataires locaux, eux-mêmes engagés dans une démarche éco-responsable. Notre agence de communication Studio Yama est nantaise, et soucieuse de produire des contenus épurés, peu consommateurs d’encre. Nous avons diminué le nombre de programmes papier tout en conservant une impression locale et responsable par La Contemporaine. Côté numérique, nous misons sur des formats peu énergivores : très peu de vidéos promotionnelles, et le recours à des retranscriptions écrites et audio pour les conférences. Nous optimisons au maximum le matériel utilisé en adoptant une gestion durable.

5.

Viser la parité dans le programme

Nous essayons de proposer un programme qui reflète au mieux la diversité de la société, en visant notamment la parité hommes/femmes parmi les intervenants. Sur les 6 précédentes éditions, nous avons eu en moyenne 58% d’intervenants et 42% d’intervenantes. 

6.

Rendre le festival accessible au plus grand nombre

Nous proposons une réduction de 40% pour les médias de moins de 10 salariés. Chaque année, des étudiants, indépendants et pigistes participent à l’événement en tant que bénévoles.