Dans la peau d’un témoin assailli par les médias
C’est ce qu’il est arrivé à Sébastien Bailly, journaliste pour Ouest-France et formateur à Samsa, qui s’est retrouvé en première ligne au moment de l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen. Dans l’instant, il prend quelques photos et vidéos et les poste sur Twitter où elles sont vues près de 300 000 fois. Les agences affluent pour négocier les images, ce à quoi il n’était pas préparé. L’occasion d’en tirer quelques leçons pour les confrères qui seraient amenés à contacter dans l’urgence un témoin ou reprendre des images, comme préparer en amont un document précisant les conditions de diffusion, “car on n’a pas le temps de discuter dans ces moments-là”, raconte le journaliste.
Cet article est extrait de notre newsletter de veille SMILe du 17 Octobre 2019. Pour vous abonner, c’est par ici !